lundi 15 avril 2019

Quintia Rullus

Nom : Quintia Rullus
Rang : Soldat / ingénieure (anciennement)
Affiliation : Empire de Cyrodiil - Légion impériale - Quatrième Légion
Région(s) : Cyrodiil

Localisation(s)
- Le quartier des Jardins Elfiques

Quête(s)
- Etouffez les feux de l'industrie


Quintia Rullus est une ancienne ingénieure de la quatrième Légion qui était chargée d'activer des engins de sièges. Malgré qu'elle appréciait sa tâche, l'impériale détestait les entraînements et les réveils aux aurores. Elle a ainsi déserté la Légion impériale, ce qui lui a aussi sauver la vie : évitant donc d'hériter du maléfice du prince daedra Molag Bal comme les autres soldats de la Légion Zéro ou d'autres massacrés.

Quintia Rullus a décidé de rester dans la Cité Impériale malgré l'invasion daedrique : refusant de partir loin de son foyer. Elle opère depuis le quartier des Jardins Elfiques pour détruire les engins de siège daedriques. En effet, elle s'est perfectionnée en la matière au cour de son service au sein de la quatrième Légion... L'impériale trouve simplement dommage de mettre le feu à d'aussi belles balistes.

Elle est aidée par le personnage joueur dans la mission qu'elle s'est donnée : ralentir les bombardements de la cité impériale depuis le quartier des Jardins Elfiques. Elle lui indiquera comment détruire les balistes daedriques mais aussi comment détruire la forge qui permet la production d'engins de siège à l'ouest.

Dialogues :
Quintia Rullus : Vous êtes prêt à faire du grabuge ?

Quintia Rullus : On peut dire qu'ils ont le sens du détail. Regardez-moi ces engins de siège. Ils ont pris le temps d'y sculpter la trogne d'os à moelle de Molag Bal ! C'est quand même dommage de les brûler.
Vous allez m'y aider, n'est-ce pas ?
P.J. : Pardon ?
Quintia Rullus : Les balistes ! Nous devons éclaircir leurs rangs, ou il n'y aura plus de cité à défendre.
Je sais qu'elles semblent sombres et effrayantes, mais elles brûlent bien. Croyez-moi. Enflammez-en quelques unes. Ça mettra une abeille dans les braies de l'Alliance.
P.J. : C'est tout ?
Quintia Rullus : Non, nous pouvons faire mieux ! Ces rustres conservent un tas de goudron vers le carrefour de la rue principale. Ou du moins je pense que c'est du goudron. Ce ne sont pas les liquides noirs et repoussants qui manquent, par ici...
Versez-le dans cette immense forge, à l'ouest. Ça attirera certainement l'attention.
P.J. : D'accord, je vais brûler quelques balistes et détruire la forge.
Quintia Rullus : Eh bien, que faites-vous encore là ? Ces balistes ne vont pas s'enflammer toutes seules.
P.J. : Vous êtes soldat ?
Quintia Rullus : J'étais. J'ai servi avec l'auxiliaire en ingénierie dans la quatrième Légion.
C'était amusant, au début. J'ai pu actionner des trébuchets... détruire des trucs, tout ça. Par contre, l'entrainement, le réveil aux aurores... c'était pas pour moi.
P.J. : Vous avez déserté, donc ?
Quintia Rullus : Eh bien, ce n'est pas la façon la plus charmante de le dire, mais c'est assez exact. Ça fonctionne, hein ? Si j'étais restée dans les parages, je me serais retrouvée maléfique, avec les yeux tout rouges !
Moralité, quand on abandonne, on accomplit aussi des choses, parfois.
P.J. : Pourquoi ne pas vous enfuir de la cité ?
Quintia Rullus : Oh non, je m'amuse beaucoup trop, ici !
Je plaisante, bien sûr. Cet endroit est terrible. Mais je ne peux pas partir comme ça. La cité impériale, c'est chez moi. Je ne vais pas m'exiler en province pour traire des chèvres et raser des poulets, ou je ne sais quelles inepties paysannes.

Quintia Rullus : L'endroit est douillet pour un ragnard à moitié mort de faim. Vous avez fini de semer la pagaille dans les quartiers ?
P.J. : La Légion Zéro ne va pas fabriquer de machines de guerre de sitôt.
Quintia Rullus : Je savais que vous y arriveriez ! Je donnerais cher pour voir leur tête. Quelle merveille !
Je vais rassembler des fournitures. Je reviendrai certainement ici demain. Si vous voulez continuer les ravages, revenez me voir ici.

Quintia Rullus : Je ne pensais pas que l'odeur de la cendre et de l'asphalte brûlé me manqueraient un jour, mais... ouah ! On se croirait dans un pagne d'ogrim !

Quintia Rullus : Regardez qui voilà ! La Légion a d'autres balistes, prêtes à partir maintenant que les autres sont détruites.
Vous êtes prête à crever l'autre œil de Molag Bal ?
P.J. : Vous voulez encore que je brûle des balistes et que je détruise la forge ?
Quintia Rullus : Vous voyez ? Je savais que vous seriez intéressée ! Je vais vous indiquer où les balistes sont entreposées.
Soyez prudente là dehors. Ils ont probablement remarqué notre petit jeu maintenant. Ou pas... on verra bien je suppose ?
P.J. : Je vous retrouve quand ce sera fait.

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