Une antique lettre d'amour
Ma très chère Aconia,
Mon cœur est froid comme la bise de l'hiver
Et je reste là dans cette nuit mortifère
Tu es la seule au monde, j'en suis certain
Qui puisse pour moi faire lever le matin
Le vent peut bien rugir au-dehors
Il n'y a que toi que j'implore
Que ne puis-je me blottir dans tes bras
Pour l'éternité passer avec toi
La guerre, ma flamme n'a pu confjurer
Reprenons là où nous l'avions laissée
Plus jamais le large ne prendrai
Et à tes pieds mon cœur déposerai
Ton bien-aimé,
Rogano
Centurion, 33e cohorte, 2de légion.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire