Rang : Capitaine
Affiliation : Empire de Cyrodiil - Légion impériale - Garnison improvisée
Région(s) : Cyrodiil
Localisation(s)
- Le quartier des Nobles
Quête(s)
- L'étendard impérial
- Le Sublime brasier
Caudex était un capitaine de la Légion impériale ayant refusé de prêter allégeance à la Légion Zéro. Dès le début de la Coalescence, le capitaine Caudex a improvisé une garnison de huit légionnaires retranchés dans le quartier des Nobles de la Cité Impériale. Lui et sa garnison ont tenu bon pendant deux semaines et cachent un secret qu'il considère comme un fardeau.
Anatolius Caudex aurait un amour pour l'Empire qui est tenace.
Au début de la Guerre des Alliances, ce dernier était stationné au fort Bayle sous le feu des artilleries de l'Alliance de Daguefilante. Les soldats impériaux portaient un uniforme d'infanterie pour ne pas attirer l'attention de l'ennemi, à l'exception du capitaine Caudex qui portait toujours fièrement son armure qu'il entretenait au maximum.
Caudex se releva de plusieurs blessures graves mais hochait sans cesse la tête devant ses hommes qui le suppliaient d'arrêter.
« Ces rebelles doivent prendre conscience que l'Empire est invincible. Donc, nous devons être invincibles».
Le capitaine Caudex aurait été le dernier à quitter le fort Bayle après que les troupes en aient reçus l'ordre.
Son ami défunt, le lieutenant Gavo Haderus ne pouvait s'empêcher de croire que tant que Caudex est en vie, l'Empire sera invincible.
Quelques temps avant la Coalescence, un prêtre de la Phalène Ancestrale lui remis un Parchemin des Anciens antique. Caudex changea complètement depuis qu'il fut chargé de garder ce parchemin qu'il n'avait pas prit au sérieux au départ.
En effet, ce dernier fit des cauchemars et eut des visions du futur, il rêva de la Coalescence la veille même.
Lui et les sept autres légionnaires de sa garnison improvisée parviennent à tenir bon depuis le début de la Coalescence grâce au Parchemin des Anciens antique : ce parchemin l'aurait rendu lui et ses camarades immortel.
Dialogues :
Le Capitaine Caudex : Cessez le feu ! Ça pourrait être un survivant !
Le capitaine Caudex (si quête non actionné) : Si vous n'êtes pas venue nous aider à combattre les Daedra, nous n'avons rien à nous dire. Quittez ma garnison tant qu'il vous reste encore des jambes pour vous porter.
Le capitaine Caudex : Je ne m'attendais pas à voir un visage mortel aujourd'hui. Du moins, pas un qui soit encore vivant. Vous devez être nouvelle par ici. Vous faites partie de la milice provinciale, c'est ça ? Vous en avez tout l'air.
P.J. : Provinciale ?
Le capitaine Caudex : L'Alliance. Le Pacte. Le Domaine. Ces armées entêtées qui s'entre-déchirent sur les champs de Cyrodiil pendant que des bêtes daedriques se prélassent sur le trône.
Si vous venez me demander de joindre ma bannière à la vôtre, la porte est là.
P.J. : En fait, je viens vous aider. C'est un de vos soldats qui m'envoie.
Le capitaine Caudex : Zel, cet éternel optimiste. C'est pour ça que j'ai dû le descendre d'un pilori de la Légion, couvert de sang. Il refusait de croire que nos supérieurs nous avaient trahis et avaient livré la cité à Molag Bal.
Moi, je ne vois que les mauvais côtés. C'est pour ça que je suis toujours envie.
P.J. : Si je comprends bien, vous ne voulez pas de mon aide ?
Le capitaine Caudex : Je n'ai pas dit ça. Il faut être flexible en période de crise. Les chiens de Molag Bal préparent un nouvel assaut. Mes soldats sont épuisés et les portes sont prêtes à céder.
Nous avons besoin d'aide. Si vous voulez vous battre, vous aurez ma gratitude.
P.J. : Je vais vous aider à défendre les portes de la garnison contre l'armée de Molag Bal.
Le capitaine Caudex : Nos points faibles sont des portes condamnées au nord, à l'ouest et au sud. Zel est parti en reconnaissance. S'il pense que les Daedra sont sur le point d'attaquer une porte, il y apposera un sceau.
Allez voir si vous en trouvez et attendez les instructions de Zel.
P.J. : Comment avez-vous pu tenir cette garnison pendant deux mois, avec seulement huit soldats ?
Le capitaine Caudex : Grâce à un génie militaire hors pair. Ces soldats sont des lions. Têtus comme des mules d'Hauteroche. Et nous avons eu de la chance. Beaucoup de chance.
J'imagine que nous avons rendu la tâche si difficile à ces Daedra qu'ils ont fini par trouver mieux à faire.
P.J. : C'est tout ?
Le capitaine Caudex : On dirait presque que vous vous méfiez de nous. Ne vous en faites pas, c'est réciproque. Mais, pour le moment, j'ai besoin que vous renvoyiez ces Daedra d'où ils viennent et que vous protégiez mes hommes.
Nous parlons à nouveau après l'attaque. Si vous survivez, bien sûr.
Le Capitaine Caudex : Des daedra attaquent la porte nord. Rendez-vous y et abattez-les !
Dulcilla Iullus : Vous ne pensiez quand même pas que j'allais vous laissez vous amuser sans moi ?
Oooh ! Ça va faire une jolie marque !
Le Capitaine Caudex : Prenez garde ! D'autres laquais de Molag Bal se dirigent par ici !
Dulcilla Iullus : Ils n'apprendront donc jamais à esquiver.
Kyleus Herminia : Imbéciles ! Désormais vous faites face à la tempêtes !
Le Capitaine Caudex : Nous avons bien renforcé la porte ! Tenez bon !
Dulcilla Iullus : Attention, ma jolie !
Kyleus Herminia ou/et Dulcilla Iullus : Meurs !
Kyleus Herminia : Kynareth t'emporte !
Meurs, démon !
Le Capitaine Caudex : Une autre vague approche ! Tenez-vous prêts !
Dulcilla Iullus : Ils vont la sentir passer, celle-là.
Kyleus Herminia : Qu'Oblivion vous emporte !
Dulcilla Iullus : Ils ne font aucun effort.
Le Capitaine Caudex : Des traîtres de la Légion approchent depuis l'ouest. Abattez-les !
Statius Vettiena : Ceux qui ont choisi le camp de Bal sont des traîtres. A présent ils seront jugés.
Le Capitaine Caudex : Un autre groupe arrive ! Poursuivez le combat !
Statius Vettiena : Stendarr ! Prête moi ton pouvoir, que je puisse soumettre ces traîtres à la justice qu'ils méritent !
Le Capitaine Caudex : Nous avons bien renforcé la porte ! Tenez bon !
Statius Vettiena : Les maîtres ont rejoint les chiens. Eux aussi seront jugés.
Le Capitaine Caudex : Un autre groupe arrive !
Le Capitaine Caudex : Une autre vague approche !
Le Capitaine Caudex : Un gros groupe de daedra se dirige vers la porte sud. Retenez-les !
Arrianus Capius : Ne craignez rien. Arkay nous protégera tant que nous châtierons ses ennemis, ces ignobles Daedra.
Le Capitaine Caudex : Poursuivez le combat !
Justianas Gratus : N'ayez crainte, frère Arrianus ! Je suis là ! Ces daedra n'ont aucune chance !
Arrianus Capius : Bien sûr que vous l'êtes, frère Justianas. Bien sûr que vous l'êtes.
Le Capitaine Caudex : Un autre groupe arrive ! Ça semble être le dernier ! Poursuivez le combat !
C'était le dernier ! Attendez... il y a autre chose. Qu'est-ce que c'est que ça ?
Je ne sais pas ce c'est que cette chose, mais abattez-là ! Maintenant !
Le Capitaine Caudex (en cas d'échec) : Ils sont passés ! Repliez-vous ! Repliez-vous !
Le capitaine Caudex : Ça, c'est ce que j'appelle une bataille ! Rien de surprenant. Mais quelle joie de voir que tout se déroule comme prévu !
P.J. : Et maintenant, pouvez-vous me dire comment vous avez fait pour résister aussi longtemps ?
Le capitaine Caudex : Je suppose que l'heure est venue. Tout ça à cause d'un parchemin, d'une magie ancienne.
Juste avant l'attaque contre la cité impériale, un groupe de prêtres a déniché un parchemin antique. Selon eux, il remonte à l'époque de sainte Alessia. Je ne leur ai jamais demandé où ils l'avaient trouvé.
P.J. : Ce parchemin est-il vraiment si vieux que ça ?
Le capitaine Caudex : Vous trouvez que j'ai l'air d'un prêtre ? Tout ce que je sais, c'est que le père Egnatius en était tout à fait obnubilé. Il m'a confié le parchemin pour le garder en sécurité.
Je prenais ça pour des inepties jusqu'à mon premier rêve, la veille de la chute de la cité.
P.J. : De quoi parlait votre rêve ?
Le capitaine Caudex : j'ai vu l'impératrice régente et ses généraux prendre la main de Molag Bal. J'ai entendu des chaînes grinçantes et senti des chairs calcinées. Puis, j'ai vu le parchemin. Il était hors de portée, couvert de sang. Je me suis réveillé en hurlant.
Après ça, j'ai su que je devais le garder en sécurité.
P.J. : En quoi un vieux parchemin vous a-t-il aidés à défendre cette garnison ?
Le capitaine Caudex : Comme j'ai dit, il irradie une sorte d'enchantement... assez puissant pour nous ramener à la vie quand nous tombons au combat. Ce n'est pas plaisant, croyez-moi, et, chaque fois que je reviens, je me sens de moins en moins moi-même. Mais ça nous a permis de continuer de combattre.
Pour faire simple, nous sommes immortels.
P.J. : Ce parchemin vous a rendus immortels tous les huit ?
Le capitaine Caudex : Tant que nous tenons la garnison... tant que nous continuons le combat, oui. Zel a décidé de nous appeler "Les Huit Immortels". C'est absurde, mais je le laisse faire. C'est bon pour le moral.
Ce n'est pas tout. Vous étiez dans certains des rêves que le parchemin m'a envoyés.
P.J. : Moi ?
Le capitaine Caudex : C'était des rêves prémonitoires, comme celui qui m'a prévenu de l'invasion et de la trahison. J'ai rêvé que vous viendriez chercher le parchemin, ainsi qu'une femme masquée.
Je savais que nous devions le protéger le temps que vous arriviez. Maintenant, vous devriez la prendre.
P.J. : Je devrais donc l'apporter à la femme masquée ? Le dragon de Lames ?
Le capitaine Caudex : C'est pour vous deux... mais surtout pour elle. Je ne peux pas en dire plus.
Vous feriez mieux de la trouver. D'une manière ou d'une autre, je suis sûr que ce parchemin et la clef pour stopper ce que Molag Bal a prévu pour notre cité. Gardez-le en sécurité.
P.J. : D'accord, je vais apporter ce parchemin au dragon de Lames.
Le capitaine Caudex : J'ai le sentiment que nous nous reverrons bientôt. Cette guerre est loin d'être terminée.
D'ici là, surveillez vos arrières soldat.
P.J. : Si je prends ce parchemin, vous ne risquez pas de perdre votre immortalité ?
Le capitaine Caudex : Honnêtement ? Je ne sais pas. Mais cela n'a pas d'importance.
Ce bâtiment était une tribune autrefois, vous saviez ça ? Des briques, des vieux registres et des chaises cassées. Mais, maintenant, il représente bien plus. Cette garnison est l'Empire. Je le défendrai à tout prix.
P.J. : Vous dites qu'à chaque retour, vous avez l'impression d'être un peu moins vous même ?
Le capitaine Caudex : En effet. C'est comme... enlever des vêtements chauds en pleine tempête de neige. A chaque fois, nous sommes un peu plus maigres. Et le froid nous gagne.
La première fois que je suis mort, c'était sous un engin de siège. Le lendemain, je me suis réveillé... couvert de boue, mais en pleine forme. La vieille Maxima a frôlé la crise cardiaque.
P.J. : Le fait de vous perdre peu à peu de nous inquiète pas ?
Le capitaine Caudex : Cette garnison... cette cité... c'est tout ce qui compte. Je remuerai ciel et terre pour la protéger, même au prix de mon âme.
Certains d'entre nous sont plus partagés que d'autres ; surtout Arrianus. Mais il continue de se battre malgré tout. Comme nous tous.
Le dragon de Lames : Malivus. Il est déjà ici ! Bon sang.
Le général Malivus : Brisez-moi cette porte !
Le dragon de Lames : Ils n'ont pas lésiné sur les moyens. Malivus arrive avec l'intégralité de sa garde d'élite. J'espère que vous avez amené davantage que des planches et des clous, Caudex.
Père Egnatius : Ils n'ont pas encore enfoncé les portes. Akatosh est avec nous.
Le capitaine Caudex : J'ai envoyé des soldats barricader les portes. Elles tiendront. Mais je ne sais pas pour combien de temps.
Le général Malivus : Plus vite, misérables vermisseaux ! Mettez-y un peu d'ardeur !
Père Egnatius : (écrit) Nous devons commencer le rituel immédiatement. Rendez-vous à l'intérieur, vite.
Père Egnatius : (oral) Le temps est venu, mon amie. Vous devez vous agenouiller au brasier.
Père Egnatius : Le Sublime brasier devrait être par là. Suivez moi.
Le capitaine Caudex : J'ai envoyé mes soldats dehors, pour créer une diversion, et prendre les daedra au dépourvu. Je serais prêt à parier que c'est ce qu'ils font en ce moment.
Père Egnatius : (écrit) Le temps est venu, mon amie. Vous devez vous agenouiller au brasier.
Père Egnatius : (oral) Juste un peu plus longtemps ! Vous devez tenir !
Le dragon de Lames : Bien. Être humble... obéissante. Je peux être obéissante. Vous allez voir ce que vous allez voir.
Père Egnatius : Seigneur Akatosh, dieu dragon du temps, une loyale disciple s'agenouille devant vous. Elle vous sert depuis de nombreuses années. Faîtes que ses services soient désormais éternels !
Imprégnez-la de votre pouvoir divin. Octroyez-lui la force de défendre cette sainte cathédrale, et la volonté nécessaire pour supporter une vie de solitude.
Drapez-la de vos ailes exaltées, et votre oeuvre sera-
Le capitaine Caudex : Dépêchez-vous, mon père. Molag Bal frappe à la porte.
Le dragon de Lames : Ne le bousculez pas, capitaine. Mais il a raison, Egnatius, vous devriez vraiment vous dépêcher.
Le général Malivus : Attaquez la cathédrale ! Détruisez le brasier ! Ne laissez aucun survivant !
Père Egnatius : (écrit) Ce rituel ne doit pas être interrompu ! Vous devez défendre la cathédrale jusqu'à ce qu'il soit terminé. Allez !
Père Egnatius : (oral) Rappelez là de vos ailes exaltées, et votre oeuvre sera-
Le capitaine Caudex : Suivez-moi. Allons renvoyer ces monstres de daedra en Oblivion !
Tirez droit ! Ne les laisser pas progresser !
Le général Malivus : Pauvres imbéciles ! Envoyez le monstre !
Le capitaine Caudex : "Le monstre" ? Par les Huit... un daedroth ! Baissez-vous !
Reliez-vous ! Nous tiendrons la ligne au brasier ! Allez !
Le général Malivus : Massacrez les mortels ! Détruisez le brasier !
Le capitaine Caudex : Dispersez-vous !
Père Egnatius : (écrit) Juste un peu plus longtemps ! Vous devez tenir !
Père Egnatius : (oral) Nous devons commencer le rituel immédiatement. Rendez-vous à l'intérieur, vite !
Le dragon de Lames : Ma tête... que se passe-t-il dans ma tête ?
Le général Malivus : Balourds inutiles ! Faut-il que je fasse tout moi-même ?
Vos âmes sont perdues. Subissez la colère de Molag Bal !
Misérables immondices ! Agenouillez-vous, et peut-être vous accorderai-je une mort rapide !
Gah ! C'est tout ?
Le capitaine Caudex : Ah ! Quel plaisir de vous revoir ! Toute cette affaire au sujet de la cathédrale... quelle histoire ! Dommage qu'il nous faille l'emporter avec nous dans la tombe.
Vous pouvez rester aussi longtemps que vous le voudrez. Nous pourrons toujours avoir besoin de votre aide.
P.J. : Qu'avez-vous fait depuis que nous avons quitté la cathédrale ?
Le capitaine Caudex : Défendre la garnison, bien sûr. La protection du brasier est une grande victoire, mais Molag Bal n'a aucune intention de se replier. Je compte rester là jusqu'à ce que tous les Daedra, adeptes et traîtres soient morts et enterrés.
P.J. : L'enchantement du parchemin fait-il encore effet ?
Le capitaine Caudex : Bonne question. Nous n'avons pas encore subi de blessure mortelle. Pourvu que ça dire. Je ne peux pas me permettre de perdre des hommes, si nous voulons tenir cette position.
Avec un peu de chance, Akatosh nous a conservé une partie de notre grâce. Nous finirons par l'apprendre, tôt ou tard.
Le dragon de Lames : Malivus. Il est déjà ici ! Bon sang.
Le général Malivus : Brisez-moi cette porte !
Le dragon de Lames : Ils n'ont pas lésiné sur les moyens. Malivus arrive avec l'intégralité de sa garde d'élite. J'espère que vous avez amené davantage que des planches et des clous, Caudex.
Père Egnatius : Ils n'ont pas encore enfoncé les portes. Akatosh est avec nous.
Le capitaine Caudex : J'ai envoyé des soldats barricader les portes. Elles tiendront. Mais je ne sais pas pour combien de temps.
Le général Malivus : Plus vite, misérables vermisseaux ! Mettez-y un peu d'ardeur !
Père Egnatius : (écrit) Nous devons commencer le rituel immédiatement. Rendez-vous à l'intérieur, vite.
Père Egnatius : (oral) Le temps est venu, mon amie. Vous devez vous agenouiller au brasier.
Père Egnatius : Le Sublime brasier devrait être par là. Suivez moi.
Le capitaine Caudex : J'ai envoyé mes soldats dehors, pour créer une diversion, et prendre les daedra au dépourvu. Je serais prêt à parier que c'est ce qu'ils font en ce moment.
Père Egnatius : (écrit) Le temps est venu, mon amie. Vous devez vous agenouiller au brasier.
Père Egnatius : (oral) Juste un peu plus longtemps ! Vous devez tenir !
Le dragon de Lames : Bien. Être humble... obéissante. Je peux être obéissante. Vous allez voir ce que vous allez voir.
Père Egnatius : Seigneur Akatosh, dieu dragon du temps, une loyale disciple s'agenouille devant vous. Elle vous sert depuis de nombreuses années. Faîtes que ses services soient désormais éternels !
Imprégnez-la de votre pouvoir divin. Octroyez-lui la force de défendre cette sainte cathédrale, et la volonté nécessaire pour supporter une vie de solitude.
Drapez-la de vos ailes exaltées, et votre oeuvre sera-
Le capitaine Caudex : Dépêchez-vous, mon père. Molag Bal frappe à la porte.
Le dragon de Lames : Ne le bousculez pas, capitaine. Mais il a raison, Egnatius, vous devriez vraiment vous dépêcher.
Le général Malivus : Attaquez la cathédrale ! Détruisez le brasier ! Ne laissez aucun survivant !
Père Egnatius : (écrit) Ce rituel ne doit pas être interrompu ! Vous devez défendre la cathédrale jusqu'à ce qu'il soit terminé. Allez !
Père Egnatius : (oral) Rappelez là de vos ailes exaltées, et votre oeuvre sera-
Le capitaine Caudex : Suivez-moi. Allons renvoyer ces monstres de daedra en Oblivion !
Tirez droit ! Ne les laisser pas progresser !
Le général Malivus : Pauvres imbéciles ! Envoyez le monstre !
Le capitaine Caudex : "Le monstre" ? Par les Huit... un daedroth ! Baissez-vous !
Reliez-vous ! Nous tiendrons la ligne au brasier ! Allez !
Le général Malivus : Massacrez les mortels ! Détruisez le brasier !
Le capitaine Caudex : Dispersez-vous !
Père Egnatius : (écrit) Juste un peu plus longtemps ! Vous devez tenir !
Père Egnatius : (oral) Nous devons commencer le rituel immédiatement. Rendez-vous à l'intérieur, vite !
Le dragon de Lames : Ma tête... que se passe-t-il dans ma tête ?
Le général Malivus : Balourds inutiles ! Faut-il que je fasse tout moi-même ?
Vos âmes sont perdues. Subissez la colère de Molag Bal !
Misérables immondices ! Agenouillez-vous, et peut-être vous accorderai-je une mort rapide !
Gah ! C'est tout ?
Le capitaine Caudex : Ah ! Quel plaisir de vous revoir ! Toute cette affaire au sujet de la cathédrale... quelle histoire ! Dommage qu'il nous faille l'emporter avec nous dans la tombe.
Vous pouvez rester aussi longtemps que vous le voudrez. Nous pourrons toujours avoir besoin de votre aide.
P.J. : Qu'avez-vous fait depuis que nous avons quitté la cathédrale ?
Le capitaine Caudex : Défendre la garnison, bien sûr. La protection du brasier est une grande victoire, mais Molag Bal n'a aucune intention de se replier. Je compte rester là jusqu'à ce que tous les Daedra, adeptes et traîtres soient morts et enterrés.
P.J. : L'enchantement du parchemin fait-il encore effet ?
Le capitaine Caudex : Bonne question. Nous n'avons pas encore subi de blessure mortelle. Pourvu que ça dire. Je ne peux pas me permettre de perdre des hommes, si nous voulons tenir cette position.
Avec un peu de chance, Akatosh nous a conservé une partie de notre grâce. Nous finirons par l'apprendre, tôt ou tard.
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